Il y en avait aussi en extérieur, mais sur les pelouses des super-marchés ou dans les jardins, de très beaux specimens ... en plastique !
Après, il y a tous ceux qu'on a pu voir dessinés : sur les maillots, les écussons, dans les journaux, sur les étiquettes, sur les enseignes, ...
On est partis sur les routes du centre, une région pas complètement désertique, car il leur faut de l'herbe à ces marsupiaux-là ... Mais, ça n'était pas nos jours de chance.
Dans certains lieux, des pancartes annonçaient leur présence, mais il fallait vraiment chercher pour en trouver (je me demande si il n'y en a pas un dans le buisson, en bas à gauche ?).
Et puis, déprimant, deux kangourous écrasés par les énormes camions qui, traversant le continent à toute vitesse, les percutent à l'aube ou au crépuscule, quand l'animal s'aventure hors de son lieu de repos pour se nourrir. Leur cadavre fait alors le bonheur des oiseaux charognards.
Et puis, il y a quelques jours, au détour d'un virage, IL est apparu, s'est assis sur la route et a posé : le SKIPPY dans toute sa splendeur.
Au bout d'une minute, en quelques bonds, il est reparti, avant de poser une seconde fois !
Alors, on a compris comment faire : pour être sûr de voir des animaux sauvages, il faut se préparer, utiliser par exemple un camouflage.
Prochaines observations : les crocodiles du Territoire du Nord.